Short introduction to the presentation:

Tone Fink has long worked on the material unity of drawing, that is, adding three-dimensional elements to the drawing. He has worked with the surface of the paper as a plastic reality, giving the surface a three-dimensional extension, albeit minimal.

The sunken part of the paper is made deeper, making the original surface appear raised. The result is a drawing, actually a paper object, which becomes a relief, that is, a plastic form; the minimal differences, the positive or negative layers of the paper, so to speak, form an effective spatial active surface in real space.
His oeuvre is captivating in the diversity of the drawing language. He is known as the one who tears open wounds to the picture ground, the guilty action, then again in a subtle way-not undoing, no, but as he himself formulates-attempts to repair. (Dipl. Weiss Eva-Maria).
Drawing to touch, to reach out and touch. The pictures demand a reception process in which the growths and scars of the paper skin can be felt and experienced "up close".
On display will be a cross-section of his drawings from 1985 to 2019, a period that highlights two very representative creative periods, as well as some of his large-format books, which we present wrapped on a desk(object) in Nepalese handmade paper.

Brève introduction à la présentation:

Tone Fink travaille depuis longtemps sur l'unité matérielle du dessin, c'est-à-dire l'ajout d'éléments tridimensionnels au dessin. Il a travaillé avec la surface du papier comme une réalité plastique, donnant à la surface une extension tridimensionnelle, bien que minimale.
La partie creuse du papier est rendue plus profonde, ce qui fait apparaître la surface originale en relief. Le résultat est un dessin, en fait un objet en papier, qui devient un relief, c'est-à-dire une forme plastique ; les différences minimes, les couches positives ou négatives du papier, pour ainsi dire, forment une surface active spatiale efficace dans l'espace réel.
Son œuvre est captivante par la diversité de son langage graphique. Il est connu comme celui qui déchire les plaies ouvertes sur le terrain de l'image, de l'action coupable, puis à nouveau de manière subtile - pas en défaisant, non, mais comme il le formule lui-même - en tentant de réparer. [Dipl. art Weiss Eva-Maria]. L'envie de toucher, de tendre la main et de toucher. Les images exigent un processus de réception dans lequel les excroissances et les cicatrices de la peau du papier peuvent être ressenties et vécues "de près".
L'exposition présente un échantillon de ses dessins de 1985 à 2019, une période qui met en lumière deux périodes créatives très représentatives, ainsi que certains de ses livres grand format, que nous présentons enveloppés dans du papier artisanal népalais sur un bureau(objet).